Réactions

Communiqué du Bureau du Président Chirac

Le 18 décembre 2009

COMMUNIQUÉ

Le Président Jacques CHIRAC a été entendu, ce vendredi 18 décembre 2009, par le juge GAZEAUX en charge du dossier instruit à Nanterre.

Le Président CHIRAC rappelle qu’il avait déjà répondu, en juillet 2007, à l’ensemble des questions relatives à ce dossier portant sur 7 emplois, et qu’aucun élément nouveau n’est intervenu depuis lors.

Sur le fond, le Président CHIRAC réaffirme qu’aucun « système » n’a jamais existé à la Mairie de Paris. Il est déterminé à le faire reconnaître au terme de la procédure ouverte par la mise en examen dont il a fait l’objet ce jour.

Sur ce dossier comme dans son autre volet, instruit à Paris, le Président CHIRAC souhaite que la procédure puisse avancer dans les meilleurs délais, afin que soit définitivement établi que rien ne saurait lui être reproché.

Le message d’Henri Cuq, Président de l’association

De son côté, Henri Cuq, a souhaité, au nom de l’association, publier le communiqué suivant :

La mise en examen de Jacques Chirac, ce 18 décembre, semble, tant sur le fond que sur la forme, surréaliste.

Comment ne pas s’étonner, en effet, de cette mise en examen qui intervient plus de deux ans après que Jacques Chirac ait été entendu dans cette affaire comme témoin assisté, qu’aucun élément nouveau n’ait été apporté depuis dans ce dossier et qu’il n’y a plus de parties civiles ?

Certes, Jacques Chirac souhaite établir que rien ne saurait lui être reproché, mais, dans le cas d’espèce, on ne peut s’empêcher de penser que ce nouvel épisode procédural confine au harcèlement judiciaire.

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