Bien que la relation commerciale franco-japonaise reste encore modeste au regard du poids économique des deux partenaires, la présence française au Japon s'est sensiblement accrue
l'année dernière.
Premier investisseur étranger au Japon en flux au premier comme au second semestre 1999, la France est passée du huitième rang au 3ème rang (9,7%) des investisseurs étrangers,
après les Etats-Unis (33,5%) et les Pays-Bas (12.9%), loin devant l'Allemagne (4,3%) et le Royaume-Uni (4,2%). Selon le ministère japonais des Finances, le stock d'investissement
français au Japon atteint 871,9 milliards de yens (environ 55 milliards de francs), soit 9,7% du total du stock des investissements étrangers au Japon pour seulement 1,8% un an plus
tôt.
Si l'accord entre Renault et le second constructeur automobile japonais, Nissan, fait figure de symbole à la fois en raison de la nature du secteur concerné et du montant
record de l'investissement réalisé (31 milliards de francs), il convient aussi de citer, parmi les principaux investisseurs français au Japon en 1999, Axa, Artemis (holding de
PPR), Essilor, Valéo, Accor, L'Oréal, Saint-Gobain, Hachette Filipacchi et Rodia. Ces entreprises ont su saisir les opportunités offertes par les mutations de l'économie japonaise
qui fait face à un mouvement de restructuration sans précédent.
Si l'accord entre Renault et le second constructeur automobile japonais, Nissan, fait figure de symbole à la fois en raison de la nature du secteur concerné et du montant
record de l'investissement réalisé (31 milliards de francs), il convient aussi de citer, parmi les principaux investisseurs français au Japon en 1999, Axa, Artemis (holding de
PPR), Essilor, Valéo, Accor, L'Oréal, Saint-Gobain, Hachette Filipacchi et Rodia. Ces entreprises ont su saisir les opportunités offertes par les mutations de l'économie japonaise
qui fait face à un mouvement de restructuration sans précédent.