PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
Paris, le 9 mars 1999
COMMUNIQUE
J'apprends avec une profonde émotion la disparition soudaine de Yehudi Menuhin. Avec lui, c'est une lumière qui s'éteint, lumière du génie, mais aussi lumière du coeur.
Grand virtuose dans ce siècle, immense musicien, Yehudi Menuhin vivait pour transmettre son art. Son violon était aussi un instrument de paix et de fraternité.
Ma femme et moi avions le plaisir de le voir souvent. Aujourd'Hui , nous perdons un ami.
Jacques CHIRAC |