LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Paris, le 19 décembre 1996

C'est la tristesse, le chagrin que provoque la disparition de Marcello MASTROIANNI.

Chez tous les amoureux du septième art, bien sûr, qui admiraient l'extraordinaire interprète de Fellini, d'Ettore Scola, de Ferreri, de Louis Malle, de Michalkov et de tant d'autres. Mais aussi chez tous ceux qui étaient sensibles au charme, à la générosité, à l'exigence d'un "fou de cinéma" qui prenait tous les risques.

Sa mort est une immense perte.

Jacques CHIRAC