PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE
Paris, le 15 novembre 2006.
COMMUNIQUE
Avec la disparition de Bertrand POIROT-DELPECH, les lettres françaises perdent un incomparable défenseur.
Au fil de ses chroniques dans le journal Le Monde, dans ses nombreux romans, ce passionné de notre langue recherchait inlassablement la justesse des mots et des idées.
Son exigence et sa lucidité vont nous manquer. |