Marlenheim, Bas-Rhin le mardi 9 février 1999
QUESTION - Monsieur le Président, est-ce qu'on peut, en marge de cette rencontre franco-allemande, vous demander votre sentiment après cette avalanche qui a fait de nombreuses victimes dans les Alpes ?
LE PRÉSIDENT - D'abord, c'est un sentiment de consternation et d'infinie tristesse. Je voudrais présenter toutes mes condoléances aux familles des personnes qui ont disparu, souhaiter, ce dont je ne doute pas, que ceux qui cherchent, les sauveteurs, auxquels je tiens à rendre hommage, puissent retrouver les autres personnes, et les retrouver saines et sauves. J'ai été pendant toute cette soirée informé, je dirais quart d'heure après quart d'heure, du résultat de ces opérations, et je suis naturellement, je le répète, tout à fait consterné.
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