Propos à la presse du Président de la République et du Président du Brésil à l'issue de leur entretien.

Propos à la presse de M. Jacques CHIRAC, Président de la République, et de M. Fernando Henrique CARDOSO, Président de la République fédérative du Brésil, à l'issue de leur entretien.

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Palais de l'Élysée, le mercredi 31 octobre 2001

LE PRÉSIDENT - Le Président CARDOSO est une personnalité éminente du monde contemporain, mais également un ami de l'Europe et de la France, un ami qui a été extraordinairement apprécié hier lors de son intervention devant le Parlement français. Je n'ai pas le souvenir qu'un chef d'État y ait eu un succès aussi considérable que celui que l'ensemble de nos parlementaires -tous sans exception- ont réservé au Président CARDOSO. Je l'ai donc félicité.

Pour le reste, la vision des choses entre le Brésil et la France et notre analyse de la situation depuis les problèmes les plus importants auxquels le monde actuel est confronté, jusqu'aux problèmes bilatéraux. Nous avons une vision identique et une amitié profonde que rien ne trouble.

QUESTION - Est-ce que la France va aider le Brésil dans les négociations MERCOSUR/Union européenne ?

LE PRÉSIDENT - La France sera toujours aux côtés du Brésil pour faire le maximum dans ce sens.

M. CARDOSO - Nous avons une convergence énorme. Nous sommes d'accord en ce qui concerne les questions sur le plan mondial, sur les relations entre l'Europe et le MERCOSUR, sur les relations entre le Brésil et la France.





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