Visite à l'Institut Gustave-Roussy sur le thème de la lutte contre le cancer

Visite à l'Institut Gustave-Roussy sur le thème de la lutte contre le cancer.


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Villejuif (Val de Marne) - Jeudi 1er février 2001


Le Président de la République s'est rendu le 1er février 2001, à l'Institut Gustave-Roussy de Villejuif, dans le cadre d'un déplacement sur le thème de la lutte contre le cancer.

A l'issue de sa visite, il a lancé un appel pour "une grande mobilisation autour de la lutte contre le cancer", qui est "l'une des grandes causes nationales". "Il y a 700.000 cas en France, 250.000 par an sont détectés. C'est donc un vrai fléau, un dramatique fléau", a déclaré le chef de l'Etat.

"On a fait des progrès considérables et on voit qu'on peut arriver à guérir et peut-être à éradiquer le cancer plus tard. Cela suppose des moyens et je crois que c'est véritablement aujourd'hui l'une des grandes causes nationales qui doit être considérée comme prioritaire", a-t-il déclaré. "Il faut mobiliser la totalité de nos moyens, intellectuels, humains, matériels, financiers, et faire en sorte qu'ainsi on puisse accélérer le processus de maîtrise de ce fléau", a-t-il poursuivi.

L'Institut Gustave-Roussy est "une grande maison qui fait honneur" à la France, "un des centres les plus performants, les plus remarquables du monde". "C'est le mariage de la science et de l'humanisme et ça, c'est exemplaire". Il a souligné "ce souci constant, palpable, que l'on voit partout, de prendre en charge non seulement la maladie, mais le malade, avec ses douleurs, ses difficultés, ses incompréhensions, ses ignorances".

"Nous devons faire une grande mobilisation autour de la lutte contre le cancer. Il y a 700.000 cas de cancer en France, 250.000 cas par an sont détectés, c'est donc un vrai fléau, un dramatique fléau", a déclaré le chef de l'Etat à l'issue d'une réunion de travail à l'institut Gustave Roussy (IGR) à Villejuif, dans le Val-de-Marne. "Cela suppose des moyens et je crois que c'est véritablement aujourd'hui une des grandes causes nationales, qui doit être considérée comme prioritaire", a-t-il souligné. "Il faut mobiliser la totalité de nos moyens, de nos moyens intellectuels, humains, matériels, afin de faire en sorte, qu'ainsi, on puisse accélérer le processus de maîtrise de ce fléau", a-t-il ajouté.

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