La communauté française de Suède se compose d'environ 5 000 personnes. L'Ambassade enregistre en moyenne 70 mariages mixtes par an. Par le nombre, nos ressortissants constituent la cinquième communauté européenne présente en Suède.

En ce qui concerne la population active recensée, il s'agit presque totalement d'expatriés qui, pour 85 % d'entre eux, occupent un emploi dans le secteur tertiaire (commerce, finance, santé, enseignement, recherche, etc.) et pour 12% dans l'industrie. A hauteur de 42%, ils appartiennent à la catégorie socio-professionnelle des cadres et professions intellectuelles.

Les lieux d'implantation de la communauté sont principalement la capitale et ses environs, ainsi que la région d'expansion économique forte qui s'étend de Malmö à Göteborg.

L'intégration des Français en Suède ne pose pas problème. Elle se réalise par l'apprentissage de la langue suédoise, généralement obligatoire pour pouvoir travailler dans une entreprise locale, et un mode de vie (habitat, scolarisation, loisirs) très proche du nôtre. Au plan social, l'expatrié français bénéficie d'aides locales importantes (santé, scolarisation, chômage, etc.) en contrepartie d'un niveau élevé de prélèvements obligatoires (impôts, cotisations).La communauté française de Suède se compose d'environ 5 000 personnes. L'Ambassade enregistre en moyenne 70 mariages mixtes par an. Par le nombre, nos ressortissants constituent la cinquième communauté européenne présente en Suède.

En ce qui concerne la population active recensée, il s'agit presque totalement d'expatriés qui, pour 85 % d'entre eux, occupent un emploi dans le secteur tertiaire (commerce, finance, santé, enseignement, recherche, etc.) et pour 12% dans l'industrie. A hauteur de 42%, ils appartiennent à la catégorie socio-professionnelle des cadres et professions intellectuelles.

Les lieux d'implantation de la communauté sont principalement la capitale et ses environs, ainsi que la région d'expansion économique forte qui s'étend de Malmö à Göteborg.

L'intégration des Français en Suède ne pose pas problème. Elle se réalise par l'apprentissage de la langue suédoise, généralement obligatoire pour pouvoir travailler dans une entreprise locale, et un mode de vie (habitat, scolarisation, loisirs) très proche du nôtre. Au plan social, l'expatrié français bénéficie d'aides locales importantes (santé, scolarisation, chômage, etc.) en contrepartie d'un niveau élevé de prélèvements obligatoires (impôts, cotisations).