Palais de l'Elysée - jeudi 26 février 2004
Le chef de l'Etat a reçu Mlle Mélanie Betancourt car il souhaitait faire le point avec elle, deux ans après l'enlèvement de sa mère, Mme
Ingrid Betancourt, et l'assurer de sa solidarité dans cette épreuve. Il lui a dit que la France restait pleinement mobilisée.
Pour la France, il n'y a pas de solution militaire à une telle situation; elle appelle de ses voeux un accord
humanitaire, qui permettrait la libération des personnes concernées. Les prochaines réunions européennes et le Sommet UE -Amérique latine qui se tiendra fin mai au Mexique seront
l'occasion de saisir à nouveau nos partenaires de l'urgence d'une telle solution.