Palais de l'Elysée - mercredi 4 juin 2003
Je voudrais tout d'abord, avant d'aborder le thème de cette conférence, exprimer la forte émotion de la France et, je le sais, de chacune et de chacun d'entre nous devant le
malheur qui vient de frapper l'Algérie, victime hier soir d'un terrible tremblement de terre qui a fait, hélas, de très nombreuses victimes.
Que les Algériennes et les Algériens soient assurés de la solidarité de la France, bien sûr, mais aussi de celle, j'en sui sûr, de tous les pays représentés ici ainsi que de
notre volonté de nous tenir à leurs côtés fraternellement dans la cruelle épreuve qui les frappe.